Avec la sortie public de ChatGPT et ses remarquables prouesses rédactionnelles, l’intelligence artificielle s’est révélée au monde entier et secoue particulièrement les métiers liés à la création de contenus. Journalistes, rédacteurs web et copywriters y voient forcément une concurrence qui risque à terme de mettre en péril leur activité. Bien que ChatGPT ait marqué un tournant impressionnant dans la rédaction automatisée, il présente des limites qui réduise son efficacité pour la rédaction web. En effet, il rédige du contenu dupliqué, mais aussi, ses productions sont facilement détectables par les détecteurs d’IA. C’est sur ces arguments que l’application AIQuill, une application lancée par la startup AILogik, vient titiller ChatGPT en produisant des articles de très haut niveau et de qualité humaine.
AIQuill comble les lacunes de ChatGPT
Là où il est nécessaire d’écrire des prompt hyper détaillés pour obtenir des articles convaincants avec ChatGPT, et encore ce n’est pas toujours le cas, l’application web AIQuill est capable de rédiger des articles sur n’importe quel sujet à partir d’une simple titre et d’un mot clef.
AIQuill, dopée par GPT-4 et son algorithme propriétaire « Fine Quill », repousse les limites de ce que l’IA peut réaliser dans le domaine de la rédaction. En combinant l’agilité de la technologie de génération de texte avec une compréhension approfondie des nuances et des subtilités du langage, AIQuill offre une expérience d’écriture automatisé sans précédent, qui rivalise avec les compétences humaines. Le résultat : des textes avec du style, uniques et indétectables par les détecteurs d’IA.
Ce dernier point est en effet un des énormes points faibles de ChatGPT dont les textes sont facilement identifiables comme le produit d’une IA, ce qui les rend la plupart du temps inutilisables pour être publié sur le web.
Voici un exemple ci-dessous pour un article produit par ChatGPT sur un sujet libre sur « GPT-5 » et après l’avoir passé à la détection de Compilatio :
Comme vous pouvez le voir, l’article de ChatGPT obtient un score de 85% de contenu rédigé par une IA.
En revanche, pari réussi pour l’article d’AIQuill sur le même sujet qui passe le test Compilatio avec brio et obtient le score de 99% humain.
Après avoir effectué les mêmes tests sur 5 articles différents, jamais les détecteurs d’IA ne sont capables de détecter le contenu généré par AIQuill.
Des articles totalement uniques
La production de contenu unique est d’une importance capitale dans la rédaction web, non seulement pour éviter les pénalités des moteurs de recherche mais aussi pour garantir une valeur ajoutée à l’audience. Là aussi, ChatGPT Plus pêche par la redondance de ses réponses pour une même requête. En utilisant le chatbot d’OpenAI, il y a donc un risque important de se retrouver avec du contenu dupliqué.
C’est un autre aspect sur lequel AIQuill prend l’avantage sur ChatGPT. L’application de la startup AILogik génère un contenu nouveau à chaque fois, ce qui rend chaque article unique en son genre. Ceci est particulièrement avantageux pour les professionnels du marketing de contenu et du SEO qui ont besoin de contenu frais et original pour se démarquer dans les moteurs de recherche et pour fournir une véritable valeur ajoutée à leurs lecteurs.
Le métier de rédacteur web et journaliste en danger ?
Certes, AIQuill place le curseur encore plus haut, et l’inquiétude des rédacteurs web et des journalistes est légitime. Cependant, une perspective centrée uniquement sur la menace potentielle que représentent ces technologies avancées néglige l’énorme potentiel qu’elles offrent.
Au lieu de signer la fin des métiers de la rédaction, l’arrivée de l’IA dans ce domaine annonce plutôt l’aube d’une nouvelle ère de la rédaction digitale. C’est une occasion pour les rédacteurs web et les journalistes d’embrasser le changement, de s’adapter à lui et de réinventer leur profession en exploitant la puissance de l’IA. Vu sous cet angle, il parait évident que la réussite dans ce paysage en rapide mutation sera au rendez-vous pour ceux qui sauront s’adapter et tirer parti de ces outils en constante évolution.